Impôts Immobiliers : Les Erreurs de Débutant qui Coûtent Cher aux Agents Immobiliers.

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Se lancer dans l’investissement immobilier est une aventure passionnante, mais elle est jalonnée de complexités fiscales que l’on ne peut ignorer. Pour un agent immobilier, maîtriser les bases de la fiscalité immobilière, c’est offrir un service de qualité supérieure à ses clients et se positionner comme un expert incontournable.

On ne parle pas seulement de la taxe foncière, mais aussi des impôts sur les revenus locatifs, des plus-values immobilières et des dispositifs de défiscalisation.

C’est un vrai dédale, je vous l’accorde! Avec les évolutions constantes des lois fiscales, il est plus que jamais crucial de rester informé. En tant que professionnels de l’immobilier, nous devons être capables d’expliquer clairement à nos clients les implications fiscales de leurs décisions.




Un bon conseil peut faire toute la différence et éviter de mauvaises surprises. L’avenir de l’immobilier est intrinsèquement lié à la compréhension de ces enjeux fiscaux.

En anticipant les tendances et en adaptant nos stratégies, nous pouvons aider nos clients à optimiser leurs investissements et à sécuriser leur avenir financier.

Alors, plongeons ensemble dans le monde fascinant de la fiscalité immobilière et devenons des experts éclairés. Afin de ne pas faire d’erreurs, nous allons explorer ce sujet avec attention ci-dessous.

Comprendre l’Imposition des Revenus Locatifs : Un Guide Pratique

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1. Déclaration des revenus fonciers : mode d’emploi

Ah, les revenus locatifs! Une source de revenus bienvenue, certes, mais qui dit revenus, dit impôts! La première étape, c’est de bien déclarer ces revenus. En France, vous avez deux régimes possibles : le régime micro-foncier et le régime réel. Le régime micro-foncier est simplifié et s’applique si vos revenus bruts fonciers annuels ne dépassent pas 15 000 €. Dans ce cas, vous bénéficiez d’un abattement forfaitaire de 30 %, censé couvrir vos charges. C’est simple comme bonjour, mais est-ce toujours le plus avantageux ? Pas forcément! Si vos charges réelles (travaux, intérêts d’emprunt, etc.) dépassent cet abattement, le régime réel devient plus intéressant. Au régime réel, vous déduisez toutes vos charges pour leur montant exact. C’est plus complexe administrativement, car il faut tenir une comptabilité précise et joindre tous les justificatifs, mais ça peut faire une sacrée différence sur votre impôt final. Personnellement, je me souviens d’un client qui, en passant au régime réel, a pu déduire des travaux de rénovation importants et a ainsi réduit considérablement son imposition. Il faut donc bien étudier les deux options et faire des simulations pour choisir la plus adaptée à votre situation.

2. Charges déductibles : ce que vous devez savoir

La beauté du régime réel, c’est la possibilité de déduire un tas de charges! On parle ici des dépenses de réparation et d’entretien, des primes d’assurance, des charges de copropriété (celles qui ne sont pas récupérables sur le locataire, bien sûr!), des impôts (taxe foncière, par exemple), des intérêts d’emprunt (si vous avez financé l’acquisition avec un crédit), et même des honoraires de gestion locative si vous faites appel à une agence. Par contre, attention! Toutes les dépenses ne sont pas déductibles. Les travaux d’agrandissement ou de construction, par exemple, ne le sont pas. Il faut aussi que les dépenses soient justifiées et réalisées dans l’intérêt de la location. Un petit conseil : conservez précieusement toutes vos factures et justificatifs. En cas de contrôle fiscal, vous serez bien content de les avoir sous la main! Et n’oubliez pas, si vous avez un déficit foncier (c’est-à-dire que vos charges déductibles sont supérieures à vos revenus locatifs), vous pouvez le reporter sur vos revenus globaux dans la limite de 10 700 € par an. L’excédent est reportable sur les revenus fonciers des 10 années suivantes. C’est un vrai plus pour optimiser votre fiscalité!

3. L’impact du type de location : meublée ou non meublée ?

Le choix entre louer meublé ou non meublé a des conséquences fiscales importantes. En location non meublée, vous êtes imposé dans la catégorie des revenus fonciers, comme on l’a vu précédemment. En location meublée, en revanche, vous êtes imposé dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC). Là encore, deux régimes possibles : le régime micro-BIC et le régime réel. Le régime micro-BIC est très simple : vous déclarez vos recettes et vous bénéficiez d’un abattement forfaitaire de 50 % (voire 71 % pour les meublés de tourisme classés). C’est très intéressant si vos charges sont faibles. Mais si vous avez beaucoup de charges (travaux, amortissement du mobilier, etc.), le régime réel devient plus avantageux. Au régime réel, vous pouvez déduire toutes vos charges, y compris l’amortissement du bien et du mobilier. L’amortissement, c’est la constatation comptable de la perte de valeur du bien et du mobilier avec le temps. Ça peut représenter des sommes importantes et réduire considérablement votre impôt. De plus, la location meublée offre une plus grande flexibilité en matière de bail (baux plus courts, possibilité de fixer librement le loyer). Cependant, elle implique aussi plus de gestion (renouvellement du mobilier, recherche de locataires plus fréquente). Bref, il faut peser le pour et le contre avant de se lancer.

Optimiser la Taxe Foncière : Astuces et Exonérations

1. Calcul de la taxe foncière : comprendre les bases

La taxe foncière, c’est un peu la bête noire de tous les propriétaires. Mais pour mieux la maîtriser, il faut comprendre comment elle est calculée. La taxe foncière est basée sur la valeur locative cadastrale de votre bien. Cette valeur est censée correspondre au loyer annuel théorique que votre bien pourrait générer. Elle est fixée par l’administration fiscale et est révisée périodiquement (en théorie, tous les ans, mais en pratique, c’est plutôt tous les quelques années). Le taux d’imposition, lui, est voté chaque année par les collectivités locales (commune, département). Pour calculer votre taxe foncière, on multiplie la valeur locative cadastrale par le taux d’imposition. Simple, non ? Enfin, en théorie… Car la valeur locative cadastrale est souvent obsolète et ne reflète pas la réalité du marché. D’où l’importance de la contester si vous estimez qu’elle est trop élevée. Je me souviens d’un client qui avait réussi à faire baisser sa taxe foncière de près de 20 % en contestant la valeur locative de son appartement. Ça vaut le coup de se pencher sur la question!

2. Exonérations possibles : qui peut en bénéficier ?

Bonne nouvelle : il existe des cas d’exonération de taxe foncière! Les exonérations peuvent être temporaires ou permanentes, et elles concernent certaines catégories de personnes ou de biens. Par exemple, les constructions neuves bénéficient souvent d’une exonération temporaire de deux ans. Les personnes âgées de plus de 75 ans, les personnes handicapées et les personnes à faibles revenus peuvent également bénéficier d’une exonération, sous certaines conditions de ressources et d’occupation du logement. Les logements situés dans certaines zones (zones de revitalisation rurale, quartiers prioritaires de la politique de la ville) peuvent également bénéficier d’exonérations. Pour savoir si vous pouvez prétendre à une exonération, renseignez-vous auprès de votre centre des impôts ou consultez le site internet de l’administration fiscale. N’hésitez pas à faire une simulation pour voir si vous êtes éligible. Ça ne coûte rien et ça peut vous faire économiser pas mal d’argent!

3. Contester la taxe foncière : mode d’emploi

Si vous estimez que votre taxe foncière est trop élevée, vous pouvez la contester. La contestation doit être motivée et adressée à l’administration fiscale dans les délais impartis (généralement jusqu’au 31 décembre de l’année suivant la réception de l’avis d’imposition). Vous devez justifier votre contestation en apportant des éléments de preuve (comparaison avec des biens similaires, défauts du bien, etc.). La contestation peut porter sur la valeur locative cadastrale, le taux d’imposition ou le calcul de la taxe. Si votre contestation est acceptée, vous obtiendrez un dégrèvement de taxe foncière. Si elle est rejetée, vous pouvez saisir le tribunal administratif. Contester sa taxe foncière, c’est un peu le parcours du combattant, je vous l’accorde. Mais si vous avez de bonnes raisons de le faire, ça vaut le coup de tenter votre chance.

Maîtriser l’Imposition des Plus-Values Immobilières

1. Calcul de la plus-value : les étapes clés

La plus-value immobilière, c’est la différence entre le prix de vente et le prix d’achat d’un bien immobilier. Elle est imposable, mais il existe des exonérations et des abattements qui peuvent réduire considérablement l’impôt. Pour calculer la plus-value, il faut d’abord déterminer le prix de vente net, c’est-à-dire le prix de vente diminué des frais de vente (frais d’agence, diagnostics, etc.). Ensuite, il faut déterminer le prix d’achat majoré, c’est-à-dire le prix d’achat augmenté des frais d’acquisition (frais de notaire, droits d’enregistrement) et des dépenses de travaux (sous certaines conditions). La plus-value brute est la différence entre le prix de vente net et le prix d’achat majoré. Ensuite, on applique les abattements pour durée de détention, qui varient en fonction de la durée pendant laquelle vous avez été propriétaire du bien. Plus vous avez gardé le bien longtemps, plus l’abattement est important. Enfin, on calcule l’impôt sur la plus-value, qui est de 19 % pour l’impôt sur le revenu et de 17,2 % pour les prélèvements sociaux. Ça peut paraître compliqué, mais en suivant ces étapes, vous devriez vous en sortir!

2. Exonérations : quand ne pas payer d’impôt sur la plus-value ?

Il existe plusieurs cas d’exonération de plus-value immobilière. Le cas le plus courant, c’est la vente de votre résidence principale. Si vous vendez votre résidence principale, vous êtes exonéré d’impôt sur la plus-value. C’est un avantage fiscal considérable! Mais attention, il faut que le bien soit effectivement votre résidence principale au moment de la vente. Si vous avez déménagé il y a longtemps et que vous louez le bien, vous ne pourrez pas bénéficier de l’exonération. D’autres cas d’exonération existent, notamment pour les personnes âgées ou handicapées hébergées en établissement spécialisé, pour les ventes de biens de faible valeur (inférieure à 15 000 €), et pour les ventes réalisées dans le cadre d’une opération de remembrement. Renseignez-vous bien pour savoir si vous pouvez bénéficier d’une exonération, ça peut vous faire économiser beaucoup d’argent!

3. Abattements pour durée de détention : comment ça marche ?

Les abattements pour durée de détention sont un mécanisme fiscal qui permet de réduire l’impôt sur la plus-value en fonction de la durée pendant laquelle vous avez été propriétaire du bien. Plus vous avez gardé le bien longtemps, plus l’abattement est important. Les abattements sont progressifs et s’appliquent à partir de la sixième année de détention. Pour l’impôt sur le revenu, l’abattement est de 6 % par an de la sixième à la vingt-et-unième année, et de 4 % la vingt-deuxième année. Pour les prélèvements sociaux, l’abattement est de 1,65 % par an de la sixième à la vingt-et-unième année, de 1,60 % la vingt-deuxième année, et de 9 % par an au-delà. Concrètement, si vous vendez un bien que vous avez gardé pendant 30 ans, vous serez exonéré d’impôt sur le revenu et vous bénéficierez d’un abattement important sur les prélèvements sociaux. C’est un vrai coup de pouce pour les investisseurs à long terme!

Les Dispositifs de Défiscalisation Immobilière : Un Aperçu

1. Loi Pinel : avantages et inconvénients

La loi Pinel, c’est le dispositif de défiscalisation immobilière le plus connu en France. Elle permet de bénéficier d’une réduction d’impôt en investissant dans un logement neuf destiné à la location. La réduction d’impôt est calculée en fonction de la durée de location : 6 ans, 9 ans ou 12 ans. Plus vous vous engagez à louer longtemps, plus la réduction d’impôt est importante. Les avantages de la loi Pinel sont nombreux : réduction d’impôt attractive, possibilité de louer à ses ascendants ou descendants (sous certaines conditions), constitution d’un patrimoine immobilier, perception de revenus locatifs. Mais il y a aussi des inconvénients : engagement de location contraignant, plafonds de loyer et de ressources des locataires, risque de vacance locative, revente du bien difficile. De plus, la loi Pinel est régulièrement remise en question et ses conditions évoluent souvent. Avant de vous lancer, il faut donc bien étudier le marché locatif local, faire des simulations financières et vous faire accompagner par un professionnel.

2. Statut LMNP/LMP : lequel choisir ?

Le statut LMNP (Loueur Meublé Non Professionnel) et le statut LMP (Loueur Meublé Professionnel) sont deux régimes fiscaux avantageux pour les investisseurs en location meublée. Le statut LMNP s’applique si vos revenus locatifs meublés sont inférieurs à 23 000 € par an et ne représentent pas plus de 50 % de vos revenus globaux. Le statut LMP s’applique si vous dépassez ces seuils. Les avantages du statut LMNP sont la simplicité des formalités administratives, la possibilité de déduire les charges et d’amortir le bien et le mobilier, et l’absence de cotisations sociales. Les avantages du statut LMP sont la possibilité de déduire les déficits fonciers de vos revenus globaux sans limitation de montant, et l’exonération d’impôt sur la plus-value en cas de revente du bien après cinq ans d’activité. Mais le statut LMP implique aussi des contraintes : affiliation au régime social des indépendants (RSI), cotisations sociales élevées, et obligation de tenir une comptabilité rigoureuse. Le choix entre LMNP et LMP dépend donc de votre situation personnelle et de vos objectifs.

3. Autres dispositifs : Censi-Bouvard, Malraux, Déficit foncier

Outre la loi Pinel et les statuts LMNP/LMP, il existe d’autres dispositifs de défiscalisation immobilière moins connus mais qui peuvent être intéressants dans certaines situations. La loi Censi-Bouvard permet de bénéficier d’une réduction d’impôt en investissant dans une résidence services (étudiants, seniors, tourisme). La loi Malraux permet de bénéficier d’une réduction d’impôt en réalisant des travaux de restauration dans un immeuble situé dans un secteur sauvegardé. Le déficit foncier permet de déduire les charges de vos revenus fonciers et de réduire ainsi votre impôt sur le revenu. Chaque dispositif a ses propres conditions et ses propres avantages et inconvénients. Il faut donc bien se renseigner avant de se lancer.

La Fiscalité Immobilière Internationale : Ce Qu’il Faut Savoir

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1. Imposition des non-résidents : les règles à connaître

L’imposition des non-résidents en France est un sujet complexe. Si vous êtes non-résident et que vous possédez un bien immobilier en France, vous êtes imposable sur les revenus que ce bien génère (loyers, plus-values). Les revenus locatifs sont imposés au barème progressif de l’impôt sur le revenu, avec un taux minimum de 20 % pour les revenus inférieurs à 27 478 € et de 30 % au-delà. Les plus-values immobilières sont imposées au taux de 19 %, majoré des prélèvements sociaux de 17,2 %. Il existe des conventions fiscales entre la France et certains pays qui peuvent prévoir des règles spécifiques en matière d’imposition des non-résidents. Il est donc important de se renseigner auprès d’un expert fiscal pour connaître les règles applicables à votre situation.

2. Conventions fiscales : comment éviter la double imposition ?

Les conventions fiscales sont des accords bilatéraux entre deux pays qui visent à éviter la double imposition. Elles permettent de déterminer quel pays a le droit d’imposer un revenu ou un bien. En général, les conventions fiscales prévoient que les revenus immobiliers sont imposables dans le pays où se situe le bien. Mais il peut y avoir des exceptions. Par exemple, certaines conventions prévoient que les revenus locatifs sont imposables dans le pays de résidence du propriétaire. Il est donc important de consulter la convention fiscale applicable entre la France et votre pays de résidence pour connaître les règles applicables à votre situation.

3. Optimisation fiscale internationale : les stratégies à envisager

L’optimisation fiscale internationale consiste à mettre en place des stratégies légales pour réduire votre imposition. Il existe plusieurs stratégies possibles, comme la création d’une société civile immobilière (SCI) dans un pays à fiscalité avantageuse, l’utilisation de trusts ou de fondations, ou la domiciliation de votre activité dans un pays à faible imposition. L’optimisation fiscale internationale est un domaine complexe qui nécessite l’expertise d’un professionnel. Il est important de respecter les règles fiscales en vigueur et d’éviter les montages abusifs qui pourraient être requalifiés par l’administration fiscale.

L’Audit Fiscal Immobilier : Un Outil Indispensable

1. Pourquoi réaliser un audit fiscal immobilier ?

L’audit fiscal immobilier est un examen approfondi de votre situation fiscale en matière immobilière. Il permet d’identifier les risques fiscaux, les opportunités d’optimisation et les erreurs à corriger. Un audit fiscal immobilier peut être réalisé à l’occasion d’une acquisition, d’une vente, d’une transmission ou d’une succession. Il peut également être réalisé de manière préventive pour s’assurer de la conformité de votre situation fiscale. Les avantages d’un audit fiscal immobilier sont nombreux : sécurisation de votre situation fiscale, identification des économies d’impôt possibles, anticipation des risques de contrôle fiscal, et amélioration de la gestion de votre patrimoine immobilier.

2. Les étapes clés d’un audit fiscal immobilier

Un audit fiscal immobilier se déroule généralement en plusieurs étapes. La première étape consiste à collecter les informations et les documents nécessaires (titres de propriété, contrats de location, déclarations fiscales, etc.). La deuxième étape consiste à analyser ces informations et à identifier les points sensibles. La troisième étape consiste à émettre des recommandations et à proposer des solutions d’optimisation. La quatrième étape consiste à mettre en œuvre ces solutions et à suivre leur efficacité. Un audit fiscal immobilier doit être réalisé par un professionnel compétent et indépendant.

3. Comment choisir un expert en audit fiscal immobilier ?

Le choix d’un expert en audit fiscal immobilier est une étape importante. Il faut choisir un professionnel compétent, expérimenté et indépendant. Vérifiez ses qualifications, ses références et ses honoraires. Demandez-lui de vous expliquer sa méthodologie et de vous fournir un devis détaillé. N’hésitez pas à le rencontrer pour discuter de vos besoins et de vos attentes. Un bon expert en audit fiscal immobilier doit être à l’écoute, disponible et capable de vous conseiller de manière objective et personnalisée.

Tableau Récapitulatif des Régimes Fiscaux Immobiliers

Régime Fiscal Revenus concernés Avantages Inconvénients
Micro-foncier Revenus locatifs non meublés inférieurs à 15 000 € Simplicité, abattement forfaitaire de 30 % Abattement forfaitaire, peu adapté si les charges sont élevées
Réel Revenus locatifs non meublés Déduction des charges réelles, report des déficits fonciers Complexité administrative, obligation de tenir une comptabilité
Micro-BIC Revenus locatifs meublés Simplicité, abattement forfaitaire de 50 % (71 % pour les meublés de tourisme classés) Abattement forfaitaire, peu adapté si les charges sont élevées
Réel (LMNP/LMP) Revenus locatifs meublés Déduction des charges réelles, amortissement du bien et du mobilier Complexité administrative, obligation de tenir une comptabilité

Rester Informé des Évolutions Fiscales : Une Nécessité

1. Sources d’information fiables : où se renseigner ?

La fiscalité immobilière est un domaine en constante évolution. Il est donc essentiel de rester informé des dernières actualités et des nouvelles réglementations. Pour cela, vous pouvez consulter les sources d’information suivantes : le site internet de l’administration fiscale (impots.gouv.fr), les publications spécialisées (revues fiscales, magazines immobiliers), les sites internet des professionnels de l’immobilier (notaires, experts-comptables, agents immobiliers), et les formations et conférences sur la fiscalité immobilière. N’hésitez pas à vous abonner à des newsletters et à suivre les réseaux sociaux des experts fiscaux pour ne rien manquer.

2. L’importance de la formation continue

La formation continue est indispensable pour tout professionnel de l’immobilier. Elle permet de mettre à jour ses connaissances, d’acquérir de nouvelles compétences et de se tenir informé des dernières évolutions réglementaires. Il existe de nombreuses formations sur la fiscalité immobilière, allant des formations courtes et pratiques aux formations diplômantes. Choisissez une formation adaptée à vos besoins et à votre niveau de connaissance. N’hésitez pas à demander conseil à votre ordre professionnel ou à votre chambre de commerce pour trouver une formation de qualité.

3. Faire appel à un expert : quand et pourquoi ?

Faire appel à un expert en fiscalité immobilière peut être utile dans de nombreuses situations : acquisition, vente, transmission, succession, contrôle fiscal, optimisation fiscale. Un expert peut vous conseiller, vous assister et vous représenter auprès de l’administration fiscale. Il peut également vous aider à monter des dossiers complexes et à défendre vos intérêts. Le coût d’un expert peut paraître élevé, mais il peut vous faire économiser beaucoup d’argent à long terme. N’hésitez pas à demander plusieurs devis et à comparer les prestations avant de faire votre choix.

En conclusion, la fiscalité immobilière peut sembler un labyrinthe complexe, mais avec une bonne compréhension des règles et des dispositifs existants, il est tout à fait possible d’optimiser sa situation fiscale et de réaliser des économies significatives.

N’hésitez pas à vous faire accompagner par un professionnel pour naviguer au mieux dans ce domaine en constante évolution et pour prendre les décisions les plus adaptées à votre situation personnelle.

L’investissement immobilier est une aventure passionnante, alors autant la vivre en toute sérénité fiscale!

Informations Utiles à Savoir

1. Le simulateur de taxe foncière : De nombreux sites proposent des simulateurs gratuits pour estimer votre taxe foncière. Un outil précieux pour anticiper vos dépenses!

2. Les aides de l’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat) : Si vous réalisez des travaux de rénovation énergétique, vous pouvez bénéficier d’aides financières de l’ANAH. Un coup de pouce non négligeable!

3. La déclaration en ligne des revenus fonciers : Simplifiez-vous la vie en déclarant vos revenus fonciers en ligne sur le site impots.gouv.fr. C’est rapide, facile et sécurisé!

4. Les permanences d’information juridique : Des professionnels du droit vous proposent des consultations gratuites pour répondre à vos questions sur la fiscalité immobilière. Renseignez-vous auprès de votre mairie ou de votre département!

5. Le guide de l’investissement locatif : De nombreuses associations et organismes proposent des guides pratiques pour vous accompagner dans votre projet d’investissement locatif. Une mine d’informations précieuses!

Points Clés à Retenir

Comprendre les différents régimes d’imposition : micro-foncier/BIC, réel.

Identifier les charges déductibles et les exonérations possibles.

Maîtriser le calcul de la plus-value et les abattements pour durée de détention.

Se tenir informé des évolutions fiscales et faire appel à un expert si nécessaire.

Optimiser sa situation fiscale grâce aux dispositifs de défiscalisation (Pinel, LMNP/LMP).

Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖

Q: 1: Quels sont les principaux impôts à connaître en tant qu’investisseur immobilier en France ?
A1: Oh là là, la fiscalité française ! En gros, il faut retenir la taxe foncière, bien sûr, que tout propriétaire doit payer. Ensuite, il y a l’impôt sur le revenu foncier si vous louez votre bien, et la CSG/C

R: DS sur ces revenus. Et puis, attention, si vous revendez, il y a l’impôt sur la plus-value immobilière. Sans oublier les droits d’enregistrement lors de l’achat.
Bref, ça fait pas mal de choses à surveiller! Q2: Existe-t-il des dispositifs pour réduire ses impôts quand on investit dans l’immobilier locatif ? A2: Ah, la défiscalisation, le Graal de l’investisseur !
Oui, bien sûr. Il y a le dispositif Pinel, par exemple, qui offre une réduction d’impôt si vous vous engagez à louer votre bien neuf pendant une certaine durée.
Il existe aussi le Censi-Bouvard pour les résidences services. Et puis, si vous faites des travaux dans un bien ancien, vous pouvez déduire certaines charges de vos revenus fonciers.
Mais attention, chaque dispositif a ses conditions! Q3: Comment un agent immobilier peut-il aider ses clients à optimiser leur fiscalité immobilière ?
A3: C’est là que nous, agents immobiliers, on entre en jeu! On peut informer nos clients sur les différents dispositifs de défiscalisation adaptés à leur situation.
On peut aussi les orienter vers un conseiller fiscal ou un expert-comptable spécialisé dans l’immobilier. Et surtout, on doit être transparents sur les implications fiscales de chaque transaction.
Un bon conseil fiscal, ça peut faire toute la différence pour nos clients et ça renforce notre crédibilité! Je me rappelle d’un couple que j’ai conseillé sur un investissement Pinel…
ils étaient ravis d’avoir pu réduire leurs impôts et me remercient encore aujourd’hui!